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La paroisse

Lieux de culte et accueil

Lieux de rencontre, de réunion, lieu de formation et de prière pour notre paroisse ou pour les paroisses du Sud-Gironde.

Centre Saint Jean

8 Bd François Mauriac

33210 Langon

Vous souhaitez avoir plus d’informations ?
Gérer une inscription pour un baptême, mariage ou autres… ?
La paroisse vous accueille au presbytère :
2 rue St Gervais – 33210 Langon
Tél. : 05 57 36 41 53
E-mail langonnais@bordeaux.catholique.fr

Accueil :
du mardi au vendredi 9h-12h et 14h-17h ; samedi 9h-12h

 

52 rue d’Angleterre, 33720 Podensac : accueil mardi, jeudi et samedi 9h-12h

Les clochers de la paroisse

Aillas, 844 habitants, est située dans la Haute-Lande-Girondine sur la Bassanne, en limite du Lot-et-Garonne. Elle fait partie de la CdC du Réolais en Sud Gironde…
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EGLISE : NOTRE DAME de Mouchac, origine romane du XII°s., une seule nef et un transept, actuellement nef à cinq travées avec une abside et deux absidioles, les bas-côtés sont. du XVI° –  XVII°s., cloche de 1538, église restaurée en 1843. L’édifice appartint aux Templiers puis aux chevaliers de Malte. Les revenus de la paroisse étaient reversés à La Sauve. La particularité de cette église vient de ce que le chœur n’est pas dans l’axe de la nef, mais légèrement dévié représentant ainsi l’affaissement de la tête du Christ sur la Croix. Portail a voussures doriques, façade à cinq archivoltes à chapiteaux.

                                                     


ARBANATS
Commune de 1149 habitants située sur la rive gauche de la Garonne à quelques kilomètres après Podensac en allant vers Bordeaux

EGLISE SAINT HIPPOLYTE, elle est également placée en 1708 sous la protection de Sainte Radegonde. L’église actuelle date de la seconde moitié du XVe siècle. Elle est agrandie au XVIe siècle par l’adjonction des bas-côtés. La chapelle de la Vierge est réalisée en 1662 et la façade, d’ordonnance classique date du XVIIIe siècle.
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Superficie : 1531 ha – Population : 834 hab. – Habitants : les Aurossais
Cours d’eau : la Beuve – Origine du nom : peut-être d’Au Ros, Le Ros, c’est-à-dire le Roc

 Auros est un chef-lieu de canton du bazadais, c’est à dire de l’ancien diocèse de Bazas, situé sur une hauteur qui domine au sud la vallée de la Garonne, équidistant des trois villes importantes de Langon, Bazas, La Réole d’environ 10 kilomètres. Ces trois villes pourvues de zones commerciales, industrielles pour Langon, orientent les activités professionnelles et scolaires, mais Bordeaux proche d’environ une heure de trajet, reste le principal pôle d’attraction. Marmande n’est pas loin… lire la suite

L’église paroissiale Notre Dame au bord de la route qui fait un angle droit, proche du vieux château, dont elle était aussi la chapelle seigneuriale où les barons catholiques avaient un droit de sépulture. Elle a été tournée lorsqu’elle a été remise au culte au XIXe siècle, le chœur et l’autel portés vers l’Ouest, peut-être à cause de la proximité de la route. Lire la suite

 

Barsac vous accueille au cœur de l’une des appellations viticoles les plus prestigieuses au Monde : BARSAC-SAUTERNES.
2149 habitants

EGLISE SAINT VINCENT

Barsac, lieu d’occupation fort ancienne, voit l’érection d’une première église au XIe siècle. Au XVe siècle elle est reconstruite et en 1536, l’architecte Etienne Baudoyn lui ajoute une chapelle. La paroisse ayant pris de l’importance et disposant des moyens nécessaires, une nouvelle église est projetée. C’est l’architecte Claude Joyneau qui en est le maître d’œuvre. Les travaux débutent en 1702 et la charpente est payée en 1710. La toute nouvelle église est de plan ramassé avec trois nefs de quatre travées. Sa façade antérieure est dominée en son centre par un clocher carré. Ce clocher est refait en 1845. Le décor de cette église est du plus grand intérêt. La table de communion est une séparation plus ou moins ouvragée, entre le chœur où officie le prêtre et la nef où se trouve les fidèles. Lors de l’eucharistie les fidèles viennent contre cette clôture pour recevoir l’hostie.
Le retable présente un bel ensemble rocaille englobant la totalité du chœur et les parois est des nefs latérales. Ses deux autels latéraux ont un décor de stuc avec une niche qui reçoit une statue en bois doré. L’un deux est dédié à la Vierge. Une grande toile représentant la crucifixion occupe le centre du retable. Des colonnes soutiennent un fort entablement qui court sur le cœur et l’abside.
La tribune est édifiée dans la première travée, face au maître-autel.
Derrière le chevet se trouvent deux salles. L’une d’elle est appelée la salle du Conseil. L’autre, la sacristie est recouverte de panneaux de bois, à décor rocaille, dus au menuisier Combes. Ces panneaux intègrent des placards et des penderies ainsi que les confessionnaux. 

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La paroisse dépendait autrefois de la juridiction d’Auros. Elle est bordée par le Beuve à l’Ouest, avec un fort dénivelé, et par un affluent au midi, la Bassanne. Les terres se prêtent à la polyculture, à l’élevage du bétail, de race bovine principalement et aussi au vignoble. 233 habitants

EGLISE St Raphaël, originellement construite en style roman au XIe siècle et restaurée au XVIIe siècle, a été entièrement brûlée par la foudre le 5 juillet 1883 et rebâtie en 1884. À l’extérieur, des pierres calcinées sont encore visibles.
Elle est caractérisée par un clocher-pignon datant de 1648 (inscription), percé d’une baie et orné d’une cloche. Elle abrite, dans le chœur, des fresques du XIXe siècle.

Origine du nom : Peut-être de « vieux Jacques », ou du patois beuves aygues, « vive eaux » ou encore du patronyme latin Vivibius.
Napoléon a remis à un bieujacais la toute première Légion d’honneur.

EGLISE NOTRE DAME. Reconstruite de 1830 à 1884, néo-romane, origine XI°s. Deux absidioles avec autels en marbre, dans le chœur, statue de la Vierge à l’Enfant. Autel majeur en marbre avec personnages dans les niches. Tour escalier percée de meurtrières, clocher peigne à trois baies avec deux clochetons et balcon.

Arrondissement de Langon ; Superficie : 580 hectares ;
Population stable à 550 Bommais et Bommaises ;
Cours d’eau : le Ciron ;
Bommes, du gaulois bona (fondation), ou du patronyme germanique Bommo, site classé du Sauternais, cette ancienne paroisse de la prévôté de royale de Barsac, s’étend dans une agréable situation sur la rive droite du Ciron. Sur les coteaux, entourés de leurs vignobles, sont installés les grands crus classés « Sauternes » – dont six Premiers crus.

L’église Saint Martin du XIIe siècle, reconstruite en 1840, sous Napoléon III grace à un don de la famille De Pontac, leur blason est sculpté sur la façade de l’édifice en remerciement. Les armoiries sont aussi représentées sur des vitraux. 

 

Le village est l’une des très anciennes paroisses établies de part et d’autre du Beuve. La commune est installée sur de bonnes terres d’une terrasse de la vallée de la Garonne, fortement entaillée par la rivière du Beuve. Les céréales, le bétail y sont traditionnellement produits. Des petites forêts en bordure de la commune permettaient d’avoir le bois nécessaire pour tous les usages. Dans ces forêts, les palombières sont à la disposition des chasseurs. En savoir plus

EGLISE St Sulpice, romane XI°-XII°s.,
Il faut descendre cinq marches pour pénétrer dans l’église.
L’église Saint-Sulpice de Brannens, bel édifice roman, voit ses origines remonter au XIe siècle, avec un très élégant chevet bien appareillé.
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Arrosée par trois rivières, dont le Beuve, la commune de Brouqueyran est un site remarquable qui connaît une occupation continue depuis le début du Moyen Âge. 218 habitants

EGLISE SAINT PIERRE
L’église dédiée à saint Pierre ès liens est reliée au château par une allée traversant une garenne de chênes.
Construite au XIIe siècle, elle voit son mur-clocher doté de deux cloches fondues spécialement en 2004.
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L’église Saint Romain est construite au centre du Bourg du village (734 habitants), lequel occupe un éperon de terrain dominant une large part de la vallée de la Garonne, au nord, et de la vallée du Ciron (le Sauternais) en direction de l’Est.
Cette église est le plus ancien bâtiment de la commune (XIIème siècle). Elle à 120 ans de plus que le château féodal de la commune.

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1208 habitants
Vous trouverez à Castets en Dorthe deux églises.

L’église St Louis, sur la place du village, construite au début du 19ème siècle.
St Louis de 1865, romane à l’origine. 

Et l’église St Romain, au lieu dit Mazerac, datant du 12ème siècle, dont le chevet est classé monument historique.Elle fait partie, avec Saint Loubert et Saint Pardon de Conques des trois églises construites dans la région sous le règne de Clément V. Son très haut clocher-mur est flanqué de puissants contreforts, le sommet qui abrite les cloches est protégé par un petit bâtiment en encorbellement. L’édifice conserve, à droite du chœur, un autel en marbre. Autrefois l’église Saint Romain était la seule église de la commune, aujourd’hui elle est seulement l’église d’un quartier.

 

 

1166 habitants situé sur la RN 1113, après Langon en direction de La Réole.
 Les origines de Caudrot remontent au Vesiècle quand, aux alentours de l’an 450, les invasions barbares, et plus précisément les Huns, obligent une partie des populations du centre de la Gaule à migrer au sud. C’est donc une caravane d’une vingtaine de personnes qui plante ses tentes sur les bords de la Garonne, à proximité de l’embouchure du Dropt. Au fil des décennies qui suivent, les quelques modestes habitations de torchis sont remplacées par des maisons plus robustes. La communauté croit avec l’arrivée de Gascons de la Biscaye et des Pyrénées, pour attendre plusieurs centaines d’habitants. Lire la suite

Eglise Saint Christophe
La première source sérieuse sur Saint-Christophe reste le compte-rendu de la visite de Léo Drouyn du 25 mars 1856. L’église avait déjà subi des campagnes de restauration au début du XIXème siècle, mais « jamais dans le style primitif qui est roman… Le nord et le sud sont en partie cachés par des maisons en brique qui paraissent être de la fin du XVesiècle… ». Lire la suite

Village de 2016 habitants, situé en bordure de RD 1113 avant Podensac en direction de Bordeaux.

EGLISE SAINT MARTIN 
Il ne reste que l’abside et le portail de l’église romane du XIIe siècle. Les chapelles sont rajoutées au XVe siècle, puis prolongées en bas-côté au XVIIIe siècle. En 1844, la travée occidentale est refaite ainsi que le clocher. La façade est divisée en trois travées inégales. Au centre la grande travée percée d’une porte est encadrée de voussures, elle forme le portail de l’église.

922 habitants
Le chiffre de la population a retrouvé son optimum des années 1860, car la proximité de Langon et la façade sur la grande route de Langon à Bazas incitent à s’installer sur cette agréable terrasse sud de la vallée de la Garonne.

EGLISE NOTRE DAME 
En direction du sud, vers Bazas, s’étend tout un coin forestier, qui constitue le début des bois du Bazadais. L’église Notre-Dame, de style roman, date du XIIème siècle. Elle possède un chœur tréflé, ce qui est assez rare. Le portail occidental est très soigné dans sa régularité géométrique. Ce porche a été classé monument historique en 1907. En 1856 l’édifice a été fortement remanié. Le cimetière environne l’église, comme il était d’usage autrefois.

Jusqu’au XVIe siècle Fargues est un quartier et une paroisse de Toulenne. Le village donne son nom à la puissante famille de Fargues connue depuis le XIIIe siècle. Lors de la Fronde, une partie des habitants de Langon pour fuir les violences qui suivent la prise de la ville par le prince de Conti y trouve refuge.
Située sur une des plus hautes collines et dominant les vignobles étagés en pentes douces, la commune de Fargues projette dans la vallée l’ombre de son vieux château construit en 1306.
Aux portes de Langon, Fargues est une commune rurale, forestière et viticole, première étape sur le circuit du Sauternais.

L’église Notre-Dame présente un portail roman aux sculptures délicates. Elle abrite une belle statue de la vierge en bois peint du XV° siècle.
Origine premier siècle, reconstruite à l’époque du gothique, agrandie au XV°s., portail roman, clocher plat de 1767.
Intérieur : Vierge en bois du XV°s. N.D. des Anges appelée Madone des Capucins provenant de la chapelle des Capucins de Langon haute de 112 cm.
Au-dessus de l’autel qui est de style renaissance italienne, un baldaquin corinthien à colonnes qui surmonte une Vierge à l’Enfant en bois doré du XVIII°s. et anges adorateurs en bois du XVIII°s. Les deux statues sont classées.
Les chapiteaux des colonnes sont ornés de têtes humaines aux angles du portail. L’église est le lieu de pèlerinage au XII°s. Clocher-mur de 1767 à deux baies.

1350 habitants

Eglise Saint Laurent 
Joyau de notre commune datant de fin du XIème siècle, début du XIIème, cette église est placée sous le vocable de Saint Laurent. Ce prélat, diacre de l’Eglise de Rome était né vers 210 et fut martyrisé en 258. Comme le préfet de Rome l’avait sommé de lui remettre les biens de l’Eglise, il distribua toutes ses richesses aux pauvres. Saisi aussitôt, il fut étendu sur un gril rougi au feu.

 

Il n’y a pas d’église dans cette paroisse
112 habitants

La commune de 165 habitants est située entre deux petits ruisseaux aboutissant au Beuve. Le sol accidenté et varié permet diverses cultures, la vigne, la prune à pruneaux et les prairies engraissent des bœufs de la race bazadaise.

EGLISE SAINT MARTIN : romane XI°-XII°s. Remaniée aux XVI°-XIX°s.(1781-1840 sur l’arc triomphal), portail roman XII°s. Voussures retombant sur des colonnes à chapiteaux historiés, porche gothique fortifié du XV°s. Avec une vaste cheminée, nef unique refaite au XVI°s. A l’entrés de la nef statue de St Joseph avec l’enfant Jésus. Derrière l’autel, toile représentant le Christ en croix. Vierge assise en pierre l’Enfant Jésus sur ses genoux du XV°s. Provenant de l’ancienne église de Mazères logée dans une niche au-dessus de l’autel côté nord qui est dédié à Ste Radegonde ; dans la niche côté sud, statue de N.D. Peinture du XVIII°s. Représentant Ste Radegonde. Modillons en façade (têtes) Le clocher carré a été ajouté après de gros dégâts provoqués par la foudre en 1883.

La commune de Landiras est située dans le département de la Gironde, à environ 40 km au Sud-Est de Bordeaux, à la limite de la vallée de la Garonne et à l’orée de la forêt landaise.
Outre l’influence de l’agglomération bordelaise, Landiras se situe dans la sphère de proximité et d’influence de Langon, située à une douzaine de kilomètres.
Elle fait partie du canton de Podensac, dont elle représente environ le tiers de la superficie totale.
Sa situation à l’interface du vignoble des Graves et de la forêt landaise lui a conféré historiquement un rôle privilégié.

EGLISE SAINT MARTIN
L’église de Landiras est de style Roman du XII° siècle et XII° siècles. Elle est placée sous le patronage de Saint MARTIN (Évêque de Tours).
Le bénitier est une grande coquille qui recueille l’eau bénite. Par ses larges ondulations, elle rappelle le pèlerinage à Compostelle.
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Sainte Jeanne de Lestonnac
Religieuse, fêtée le 3 février
.

Cette nièce de Montaigne naquit à Bordeaux en 1556, d’un père catholique, mais d’une mère protestante. Montaigne la soutint dans les épreuves que sa foi traversa.

En 1573, elle se maria avec Gaston de Montferrand baron de Landiras dont elle eut sept enfants. Veuve en 1597, elle fonda en 1605, avec l’appui du Père de Bordes, jésuite, un institut religieux pour l’éducation des filles : la Compagnie de Marie Notre-Dame, qui fut approuvée par le cardinal de Sourdis (25 mars 1606) et par le pape Paul V (7 avril 1607).

Quand elle mourut, le 2 février 1640, l’ordre comptait trente maisons. Jeanne de Lestonnac se situe parmi les grandes âmes qui ont voulu trouver une solution à l’éducation de la jeunesse, dans une époque de recherche, et promouvoir l’apostolat des femmes en un temps où il avait disparu.

Elle fut béatifiée le 23 septembre 1900, et canonisée le 15 mai 1949 par Pie XII.

7783 habitants – Sous-Préfecture de la Gironde

L’église St Gervais
L’église fut détruite puis reconstruite au XIIe siècle, dans le style gothique.
La reconstruction fut interrompue, puis reprit aux XIVe et XVe siècles avec le transept et le chœur, jusqu’au XIXe où l’on acheva de bâtir les 3 nefs et le clocher.
En 1966, on découvrit un tableau de Zurbaran, intitulé « l’Immaculée Conception  » que l’on peut voir à gauche en entrant.
L’église St Gervais possède également un orgue du facteur Cavaillé-Coll datant de 1857, qui épouse admirablement les formes de la rosace.

En 1891, un vitrail est réalisé en hommage au missionnaire Louis Beaulieu, originaire de Langon, et torturé en Corée en 1866.

 

Saint Louis Beaulieu Prêtre, martyr, fêté le 21 mai.

Louis Bernard Beaulieu est né à Langon (Gironde) le 8 octobre 1840. Auprès de sa mère, veuve, il reçoit une solide éducation chrétienne. À 9 ans, il est pensionnaire au Petit Séminaire de Bordeaux ; à 17 ans, il entre au Grand Séminaire.

Après quelques mois de professorat et de maladie, il part, en 1863, aux Missions étrangères de Paris où il est ordonné prêtre le 21 mai 1864. Malgré la persécution religieuse, il est désigné pour la Corée où il exerce son ministère jusqu’au 8 mars 1866, jour de son martyre.

Supplicié avec 23 compagnons, évêques, prêtres et laies, il est béatifié avec eux par Paul VI, le 6 octobre 1968 et canonisé par Jean-Paul II à Séoul le 6 mai 1984.

Tableau « L’Immaculée Conception de Zurbaran

Toile peinte en 1661, classée en 1969 (hauteur 140 cm, largeur 103 cm)

Ce tableau de Francisco Zurbaran, appartient à l’âge d’or de la peinture espagnole.

Sur un somptueux fond d’or, la Vierge gracieuse et recueillie semble s’élever dans les cieux, dans les plis aériens d’un voile bleu.

C’est un honneur pour l’église de Langon de contenir un tel chef d’œuvre ! 

Zurbaran :  Espagnol né dans la Provence de l’Estrémadure à proximité du Portugal, il naquit en 1598 et mourut en 1664, il vécut au XVIIe siècle et il est contemporain de Vélasquez.


 

742 habitants
Cette agglomération voit le jour entre le VIème siècle et le VIIIème siècle. Le village est établi auprès des ruines d’un bourg ravagé pendant les invasions barbares. Bertrand de Got, qui devient le pape Clément V en 1305, y séjourne. Au XIX ème siècle, Viollet le Duc y fait de fréquents séjours.
En savoir plus sur le château de Roquetaillade

EGLISE NOTRE DAME : ex-chapelle castrale au XIV°s., reconstruite au XVI°s. remaniée au XIX°s.(façade). Nef unique renfermant trois petits autels, retable avec statue de St Jean Baptiste et anges adorateurs, chevet plat. Personnages sculptés sur le confessionnal.

Origine du nom : du gascon pian, maladie de peau proche de la lèpre.
Pian fait son entrée dans l’histoire écrite en 1165 avec la venue avec la venue des bénédictins de Saint Macaire qui viennent célébrer la messe dans l’église paroissiale Notre Dame
863 habitants – Plus d’infos

EGLISE NOTRE DAME
La nouvelle église paroissiale est édifiée en 1900 dans le style néo-roman avec un clocher imposant, visible de la vallée. Dans le même temps sont édifiés un nouveau presbytère et un nouvelle maison-école, grâce notamment aux indemnités versées par la commune de Saint Macaire.
Première église en bord de Garonne proche d’une léproserie. Statues anciennes, retable doré du XVII°s., autel du XVIII°s.

2885 habitants 
Plus d’infos

Eglise Saint Vincent
Edifiée à partir de 1533 par Mathurin Gallopin, cette église, caractéristique de l’art gothique tardif, est réparée vers le milieu du XVII° siècle, après le siège des parlementaires. La façade, comportant un portail et une rosace, et le clocher, couronné d’une flèche à crochets, sont restaurés en 1846 et en 1894. Dépourvu de transept, l’édifice est constitué d’une nef centrale flanquée de bas-côtés, d’un chœur et d’une abside polygonale érigés dans le prolongement du vaisseau central. L’édifice est entièrement voûté, il comporte des voûtes à liernes et tierceron, rares dans cette région. Un tableau représente Marie Madeleine appuyée contre un rocher, la sainte regarde les cieux, que lui indiquent des angelots assis sur un nuage.

2555 habitants – Plus d’infos

Eglise Saint Vincent
Cette construction dominée par un haut clocher sommé d’une flèche de pierre, est caractéristique de l’architecture de la seconde moitié du XIX° siècle. Elle comporte une nef centrale élevée, éclairée par des fenêtres hautes et prolongée d’un chœur à abside polygonale. Ce vaisseau est bordé par deux bas-côtés aux toitures en appentis.

PREIGNAC
2241 habitants
Le bourg comporte plusieurs maisons nobles. Situé au cœur des vignobles du Sauternais, Preignac a un passé riche dont les marques sont toujours visibles, tant dans le bourg que dans les nombreux quartiers qui la composent. La production de vin de Sauternes est la principale activité du village.

EGLISE SAINT VINCENT
Elle aussi surprend par la beauté de sa façade 18e siècle, son clocher couvert par un dôme en cuivre et par son intérieur entièrement peint.
La construction du Grand Orgue Bernard Cogez marque un intérêt supplémentaire (Par suite de la restauration, l’orgue a été bénie le 5 juin 2005). La façade est de 1735, de style classique pur. Le clocher octogonal est de 1852.
Les vitraux ont été réalisés par Joseph Villet, maître verrier bordelais de 1861 à 1868.

         

798 habitants
Nom ancien : PUJAR en gascon, signifie élévation.
Menhir.
Habitants : les Pujolais
Cours d’eau : le Ciron

Pujols sur Ciron est un petit village calme et paisible traversé par le Ciron. Autrefois « capitale de l’asperge »
En savoir plus :
www.pujols-sur-ciron.fr

EGLISE Saint PIERRE aux LIENS
Le monument le plus ancien du patrimoine bâti communal est l’église paroissiale Saint-Pierre-ès-Liens, d’origine romane, qui dépendait de l’archiprêtré de Cernès.
Il ne subsiste de cette époque que le beau portail (MH), protégé par le porche, qui comporte un riche décor. La porte refaite au XVIIIe-siècle s’ouvre sous un tympan nu. Au XVe siècle, l’église est agrandie d’un bas-côté nord. Le clocher est reconstruit au XVlle siècle, le porche et la sacristie le sont au XVllle siècle. De beaux vitraux de la fin du XIXe siècle, oeuvres du peintre-verrier Henri Curcier, éclairent l’édifice.

L’église conserve un abondant mobilier. Parmi les pièces les plus remarquables, figurent l’autel secondaire de la Vierge du XVIIe siècle, une statué de Vierge et l’Enfant (MH), pleine de vie, datée du XVe siècle en pierre polychrome, un Christ en croix du XVIe siècle, des fonts baptismaux en pierre (XVe-XVIe siècle).
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1516 habitants
Situé à 7 kms au sud de Langon, la commune de Roaillan s’étend sur une superficie de 1147 hectares. Elle est séparée de Mazères par un petit cours d’eau « Le Brion », affluent de la rive gauche de la Garonne qui est bordé à l’ouest par une ligne de collines. Ces terres faisaient parties, au Moyen-Age de la seigneurie de Roquetaillade, château situé sur la rive droite du Brion et dominant la face Est de la commune. Elles en furent détachées au 16ème siècle en faveur de Jehan de Pontac. En savoir plus

EGLISE SAINT LOUIS
Eglise romane appelée autrefois St Saturnin, est située sur la place principale du village.
Abside semi-circulaire et absidiole sud romanes ; cette dernière, du XV°s., est classée en renferme un tabernacle ancien provenant des Carmes de Langon, statue de St Eutrope, évêque de Saintes, absidiole sud classée. Marques des tâcherons, croix acrotère sur la corniche qui sert de support à une autre croix. Façade refaite au XIX°s. Clocher carré pointu moderne.

Le suffixe du nom de la commune rappelle son appartenance au massif végétal qui occupe depuis longtemps l’Entre-Deux-Mers.
Le village est bâti sur l’un des coteaux les plus élevés de la Gironde (112 mètres), il est le cœur d’une commune pleinement viticole, devenue l’épicentre du canton de Saint Macaire.

Château Malromé
Il est édifié au XIV° siècle. En 1883 il est racheté par Adèle de Toulouse-Lautrec, mère du peintre Henri de Toulouse-Lautrec qui vient y séjourner tous les étés. Il décède au château et est enterré au cimetière de Verdelais

EGLISE SAINT ANDRE
St André qui vécut au 6°s. Disciple de St Amand
L’église initiale du XVI° siècle reste perceptible sur les murs extérieurs, mais elle a été complètement reconditionnée en 1860. Une nouvelle façade néo-gothique avec un clocher axial définit l’église au centre du bourg. A l’intérieur il y a une statue en bois du XVIII°s. de St André, un autel en bois doré du XVIII°s., une statue de la Vierge à l’Enfant.

L’origine du nom « grave » évoque la nature du sol graveleux caractérisant le vignoble du lieu.
La commune occupe une longue crête entre deux vallons se situant entre 99 et 116 mètres d’altitude. L’église d’origine est construite sur le promontoire où subsiste aujourd’hui le cimetière. La nouvelle église du XIXe s’est rapprochée du hameau où furent découvertes des ruines antiques datées du règne de Valentinien.
Aujourd’hui la commune se consacre à la viticulture et notamment à l’appellation « premières côtes de Bordeaux » pour le vin blanc liquoreux.

Eglise Saint Germain
St Germain né à Auxerre en 378, évêque de Lille, mort en 448.
L’église reconstruite au XIX°s. de style néo-roman, nef unique, deux absidioles dans celle du nord Vierge à l’Enfant au. dessus de l’autel, dans l’absidiole sud l’autel est surmonté de la statue de St Louis, tableaux anciens. Clocher-porche carré. Première église à l’emplacement du cimetière.

Village de Saint Loubert

Ou St LOUBENS, vécut à Eauze au 3°s. mort martyr


* EGLISE : de la Sallette, construite sur une villa gallo romaine, orientée nord-sud. Abside romane du XI°s. en hémicycle, porte gothique ogivale à voussures, chapiteaux sculptés à l’arc triomphant: têtes humaines et volutes, très belle charpente ancienne, Vierge à l’Enfant du XVIII°s. en bois doré; deux chapelles latérales, statue du Sacré Cœur dans celle du nord, N.D. dans celle du sud; clocher-mur en façade, percé de deux baies avec auvent, cloches de 1628 et de 1665. Façade refaite au XIV°s.

St Macaire : Makarios, grec né à Rome, se fixe à Ligena (ancien nom de la ville)mort en 430 ,inhumé dans la chapelle St Laurent.. en 1027 son corps est transporté en la cathédrale St André de Bordeaux.

* EGLISE: St Sauveur, construite à l’emplacement de l’ex chapelle St Laurent, détruite en 1098, reconstruite du XII° au XIV°s. par les moines. Plan à croix latine de 59 m de long et 26  de large. Sur le mur extérieur nord de la nef, une inscription mentionne que l’église est consacrée le 20 janvier 1040, c’est un modillon rond avec chrisme et alpha et oméga. Dégradée par les Protestants, reconstruite par les Jésuites. Chevet tréflé roman, nef unique voûtée de croisées d’ogives, sa longueur est de 39,40 m et est large de Il mètres. Abside circulaire à l’intérieur, polygonale à l’extérieur, coupole nervurée. Première travée romane, 2° et 3° des XII°-XIII°s., 4° gothique. Bénitier du XIII°s., schrisme de 1039. Clocher hexagonal du XIII°s. exhaussé en 1624, rosace et fronton du XV°s., chapiteaux du portail historiés du XII°s. : Daniel dans la fosse, l’Annonciation, le sacrifice d’Isaac. Peintures de la voûte du XIII°s., restaurées en 1825 par Sandré. Cul de four de l’abside orientale: la mandorle centrale représente le Père sous les traits du Fils de l’homme, dans sa bouche une épée, dans sa main droite sept étoiles, dans sa main gauche les clés. Dans la mandorle nord, on trouve l’agneau apocalyptique à sept cornes, dans la mandorle sud: Matthieu l’évangéliste, à l’extrémité deux anges, au centre de la mandorle, quatre cercles entrelacés: la Jérusalem céleste. Sur le doubleau oriental: Vierges sages et folles, sur le doubleau sud: la légende de Ste Catherine, sur celui du nord: la légende de St Jacques le Majeur. A l’ouest le miracle de St Jacques.

Statue de la Vierge à l’Enfant en bois doré du XV°s. haute de 1,90 m. Dans le chœur à gauche, Vierge à l’Enfant de 1900, haute de 1,35 m. Un Christ régnant et bénissant du XVIII°s., reliquaire du XIII°s. Deux toiles du XVII°s. : St Macaire et la Vierge (St Macaire offrant à la Vierge une maquette du monastère) – Apothéose de St Ignace de Loyola Chapiteaux: Tobie et le poisson, griffons et homme-oiseau du XVII°s. St Martin défit les païens du XI°s.

Absidiole sud: lions, Daniel et Habacuc, absidiole centrale: l’Annonciation. Dans l’absidiole nord statue de St Antoine. Chapiteaux historiés dans les deux absidioles.

La rosace est du gothique flamboyant du XV°s. Quadrupède marqué d’une croix.

La sacristie située à la base du clocher repose sur un ancien charnier, en réalité un cimetière car de 1200 à la Révolution il était d’usage d’ensevelir dans les églises, mais les cimetières existaient également (un devant l’église, à sa place le monument aux Morts).

Portail arc extérieur: personnages ailés. Sur la 3° voussure Vierges sages et folles, Jugement dernier, St Sauveur entre deux anges, les apôtres (11).

Chapelles: du Midi, autel Ste Catherine avec Vierge provenant de l’église des Cordeliers et statue de St Joseph – dans la chapelle Nord, autel N.D. Lavabo liturgique dans le chœur. Les vantaux (dans le porche) sont du XIII°s. Cadran d’horloge en pierre de 1662. Il existait dans la paroisse 8 confréries.

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Le village

Ermite, chassé de Poitiers par les Huns en 460, fonda un oratoire à St Maixant (Deux Sevres)
* EGLISE: construite sur des fondations romaines XI°s., reconstruite au XIX°s., abside en cul de four et choeur roman XI°s. avec frise à damier, deux absidioles, façade occidentale remaniée au XIX°s.; clocher carré à trois étages, surmonté d’une flèche du XIX°s.
Intérieur: chapiteaux de l’arc triomphal, Daniel et les lions, deux hommes en position de prière, oiseaux becquetant des grappes de raisin. Dans le chœur, Vierge à l’Enfant (N.D. de Verdelais) moulage polychrome du XVI°s. haute de 63 cm, chasse contenant un fragment du tombeau de St Maixant, bandeau de billettes. Deux chapelles, dans celle de droite côté est, autel surmonté d’une Vierge à l’Enfant (moulage). L’abside comporte des contreforts à colonnes surmontées de chapiteaux, tête monstrueuse placée au centre saisie par des pieds, deux personnages nus qui tentent de s’échapper, un homme à gauche essaie d’écarter avec l’un de ses bras un serpent qui le menace. Un chapiteau représente un monstre engoulé, la tête d’un homme vu de dos qui porte une robe courte collante et ceinturée. Au chevet, être indécent, bras dans la gueule entrouverte, verge détumescente dont le gland et la hampe sont serpentiformes.

A l’abside, corbeaux historiés du XII°s. représentant en partant du sud: tête de bovidé, de personnage, tête d’un chien un os dans sa gueule, monstre, couple d’animaux, tête de bovidé, serpents noués, la punition du mal, poissons, tête humaine, tête de chien.

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St Martin né à Saboria en Hongrie, évêque de Tours en 371.

* EGLISE: romane XII°s. prieurale, dépendait de La Sauve en 1108, orientée au nord, nef unique large de plus de 6 mètres, abside semi-circulaire voûtée en cul de four. Chapelles de 1874 et 1877 dans les absidioles, arc triomphal retombant sur des chapiteaux historiés sur colonnes engagées, les chapiteaux du XII°s. représentent la bataille entre deux personnages et animaux, serpent et quadrupèdes dont un est marqué d’une croix sur l’épaule, homme ivre cueillant des raisins, deux personnages et quadrupèdes. Les chapiteaux des fenêtres sont ornés de feuillages. Riche portail du XII°s. entre deux portes feintes, chrisme sur le tympan et sur le mur ouest. Portail roman à cinq voussures: 1 ° voussure, losanges à l’extrados, pointes de diamant, 2° : feuilles d’eau plates et oiseaux 3° voussure: 24 lièvres ou lapins 5°: 16 personnages alignés, personnage la main sur son sexe avec oiseaux sur ses épaules et leur bec dans ses oreilles. Oiseaux picorant le même aliment. Chapiteaux des colonnes: feuillages, oiseaux becquetant des raisins. Eglise remaniée au XVI°s.

Extérieur: corniche du XII°s. supportée par 15 corbeaux, animaux, personnages. Chapiteau obscène au portail sud: impudique aux oiseaux. Abside nord: femme, homme se masturbant tous les deux. Epaisseur du mur de plus d’un mètre. Modillons au portail sud: béchevet (position 69) femme et homme nus enlacés; côté ouest: ecclésiastique sa main gauche tient le bâton pastoral tandis que sa main droite caresse la nuque de son voisin, enlacé par son amoureux à pieds griffus. En façade: homme sa main gauche sur le sexe de sa compagne qui est chauve et qui le tient par le cou, l’homme porte sa main gauche sur le sein de la femme, c’est la luxure; abside sud: femme qui se masturbe, sur un autre modillon c’est un homme qui se masturbe à deux mains.

Clocher du XIX°s. carré surmonté d’une flèche, cloche de 1555.

Puits couvert du XVIII°s. à Le Mayne.

Vous l’avez forcément remarqué, l’église de Saint-Michel de Rieufret est relativement importante pour notre village. Depuis l’autre rive du Riu fred, on découvre plus facilement l’ampleur de l’édifice et en particulier sa largeur. En la visitant, on découvre qu’elle est non seulement vaste, mais aussi plutôt confortablement aménagée : les tribunes qui surmontent l’entrée, les sculptures et les retables qui habillent les chapelles et le chœur sont réellement soignés. Lire la suite

St Pardon né à Guéret, mort en 738

* EGLISE: origine XII°s., romane. Chœur incliné par rapport à la nef, représentation de la tête du Christ sur la croix, abside en demi-cercle, chrisme dans le chœur côté nord, fonts baptismaux en marbre. Deux absidioles. Chapelle N.D. de la Pitié du XV°s. Vierge à l’Enfant en bois doré.

Clocher-pigeon à l’avant de l’abside sur la croisée du transept percé de deux baies.

L’église de Saint Pardon de Conques
Le Chœur : Dit en cul de four (arrondi), il constitue le plus bel empierrement de l’édifice. L’existence d’une pierre de bénédiction d’époque en forme de chrisme, dans la partie gauche, traduit son ancienneté. La pierre située à droite est une copie.

La Nef. Son axe de construction diffère de celui du Chœur. L’inclinaison symbolise la position du Christ sur la Croix : c’est un deuxième témoignage de l’époque de construction.

Les Ailes latérales. Leur ajout date du XVII°.
A gauche, une Vierge à l’Enfant du XI °, sculptée sur bois et dorée, occupe une niche qui surmonte un autel de style Louis XIII. La chapelle de droite vient apporter la symétrie.

Le Baptistère. Il comprend essentiellement les Fonts Baptismaux constitués d’une grande vasque de marbre marron semblable au bénitier de la Cathédrale de Bazas.

Extérieurement, l’édifice est typiquement orienté vers l’Est. Une cloche lui a été ajoutée au XIX°.
Une litre funéraire seigneuriale en plâtre ou chaux de 60 cm de large, unique en Gironde, ceinture une petite partie du flanc droit.
La forme trilobée du porche en pierre sculptée semble signifier la présence d’un lieu de repos des pèlerins de Saint Jacques, à proximité de la station d’arrêt incontournable de Saint Pierre d’Aurillac dont la limite territoriale longeait le pied de l’église.

Un narthex, restauré en 1990, protège le porche.

 

St Pierre l’apôtre du Christ

* EGLISE : romane construite sur les ruines d’une ancienne église datant du VI° ou VII°s. (détruite par les Protestants en 1562), abside romane conservée, église des XII°-XIII°-XVI°s., reconstruite au XIX°s., ex fortifiée. Le chevet roman est conservé et comporte une corniche avec modillons. Portail du XIII°s., deux statues en bois du XVII°s. St Pierre et St Loup. Clocher carré.


* EGLISE: Première église au XI°s., à l’emplacement du presbytère, dédiée à St Rémi. Fresque de l’Annonciation, actuellement un chai. Eglise actuelle de style gothique flamboyant du XVIo-XIXos.., abside semi-circulaire, deux bas côtés. Clocher gothique de 1554, copie de N.D. de Chartres avec flèche polygonale à crochets et quatre clochetons.

Croix processionnelle du XVI°s. à la sacristie. Statue de St Pierre en bois polychrome du XVIII°s, de St Paul

* EGLISE: romane XIII°-XV°-XIX°s., reconstruite en 1880 en remplacement de l’église primitive sur un banc d’huîtres fossiles. Portail roman seul conservé, nef à trois travées, bas- côtés~ ex prieurale qui dépendait de Ste Croix de Bordeaux au XII°s.

Restes de l’ancienne église: voussures du portail, dents de loups, entrelacs ~ sur la deuxième

Voussure : oiseaux sur la troisième voussure : 30 hommes vêtus d’une longue robe tirant sur une corde, chacun s’appuyant d’un pied sur le dos de son voisin, au milieu d’eux, le Christ assis au centre. Intérieur: chapelle ND. de la Pitié. Tableaux: Christ en croix du XVIII°s.- Descente de la croix XIX°s. – Vierge des sept douleurs du XVIII°s. Clocher de 1874, cloche de 1732.

 

Ste Foy, née à Agen, vierge décapitée en 303 ou 306 à Agen

* EGLISE: du XIX°s. en remplacement de l’église romane. Portail ogival à voussures et colonnes.

Clocher plat percé de deux baies, cloche de 1789.

* EGLISE: .St Pierre ès Liens qui dépendait de l’archiprêtré de Cernès origine XI) Chœur roman éclairé par un oculus église agrandie en 1600-1731 et 1846; chapelle St.Léon: 1668, deux bas-côtés, clocher actuel de 1846, cloche de 1891, marques des tâcherons. En 1623 union de Sauternes à l’archidiaconé de Blaye. Tombeau de la famille de Lur Saluces dans la chapelle St Léon. En 1674 et 1676 construction des chapelles latérales, celle de N.D. est de 1674

* EGLISE: St Martin XII°-XVI°-XIX°s. Abside romane en hémicycle du XII°s. voûtée en cul de four, nef unique surélevé de plus de un mètre, belle charpente du XVI°s., façade du XIX°s. Arc triomphal en anse de panier retombant sur des colonnes engagées ; deux clochers tour carrés du XIX°s. Porche surmonté d’une rosace. A l’extérieur au sud, trace de l’ancienne porte certainement des gahets.

* EGLISE: St Saturnin de l’archiprêtré de Cemès Nef du XII°s. Abside voûtée en cul de four

Au XV°s. la paroisse dépend de Fargues et est appelé St Saturnin de Tolene ou de Fargues (en 1609)

Eglise rebâtie en 1833. Deux bas-côtés, dans celui du nord statue de la Vierge à l’Enfant, côté sud statue du Sacré Cœur. Autel majeur en marbre. Quatre cloches de 1855. Clocher découronné par la tempête en 1935, l’actuel est gothique et polygonal avec crochets. Intérieur : très belle chaire du XVII°s. provenant du couvent des Ursulines de Langon sur les panneaux les docteurs de la Loi.

* BASILIQUE N.D. du XVII°s. Façade avec statues de : St Joseph, St Jean, St Dominique, et St Simon Stock.
Histoire de N.D. Un oratoire et un ermitage sont élevés par une comtesse de Benauge dans la forêt du Luc, (1) en 1142 l’ermitage est confié aux Grandmontains, détruit en 1377, restauré en 1390, incendié par les Protestants en 1562, relevé en 1629, pillée et brûlée en 1791, passe aux Maristes en 1838. En 1377, des religieux cachent la statue de N.D. dans la terre, époque où le monastère est détruit et l’église brûlée. En 1390, Isabelle de Foix, mariée à Archambault de Grailly, se rendant de la seigneurie de Langon à son château de Civrac en Benauge, traverse la forêt du Luc. La mule s’arrête et enfonce son pied de 4 à 5 pouces dans le sol, la mule imprime la trace de ses fers dans la pierre. La comtesse demande d’enlever la pierre et l’on découvre la statue de la Ste Vierge du XII°s. La comtesse fait construire une chapelle. Miracles nombreux, lieu de pèlerinage le plus célèbre de la Gironde. Les miracles sont consignés à partir de 1658 ; le premier a lieu en 1185 ; le dernier est enregistré en 1852.

Intérieur: retable en marbre de 1666, au-dessus de l’autel ND. du XIV)s. en haut du retable un tableau « la Consolatrice des affligés » à droite statue de St Benoit et à gauche celle de Pierre Célestin.

Plus d’infos

Histoire de la commune de Virelade : voir

L’église Notre-Dame a été reconstruite en 1866, sous l’impulsion de Mgr Donnet, en style néogothique.

Elle est l’oeuvre de l’architecte Henri Duphot, en 1866, qui assure les restaurations et construction des flèches, il est également à l’origine des églises St Amand de Caudéran , Saint-Vincent de Portets (1861), et de l’église Saint-Gervais-Saint-Protais de Langon (1845-1869).

Plusieurs oeuvres peuvent être admirées à l’intérieur : Tableaux sur toile Assomption 1 de Laude Ch. (19ème) et Assomption 2 (18ème), Vitrail Baptême du Christ de Lieuzère (1860), Bronze Veilleuse du saint sacrement (19ème), Statue Vierge à l’enfant (18ème), Statue Sainte Thérèse de Lisieux de Pieraccini (20ème), Statues Saint Pierre et Saint Paul de Tarse (18ème), … lire la suite

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